Quel est le coût d’une assurance protection juridique ?
L’assurance protection juridique peut être essentielle pour différentes situations. Celle-ci peuvent prendre en compte, les oppositions avec le voisinage, les relations locataires-propriétaires, les relations avec l’employeur, les achats sur Internet. L’ample de la couverture et les champs d’ingérence peuvent modifier : administration fiscale, circulation, famille, loisirs, santé. Elle peut même observer l’e-réputation (problèmes de diffamation en ligne). Il est donc raisonnable d’apprendre tous les styles de garanties ainsi que leurs sursis.
Toutefois, le coût de ces diligences sera pris en charge par l'assureur que si l'assuré peut justifier d'une urgence à les avoir demandées. (ex : constitution de partie civile dans une procédure de comparution immédiate).
Rapport qualité prix de l’assurance protection juridique
Les discordes les plus coutumières pour les particuliers considèrent : le contentieux familial (divorce, résidence des enfants, pensions alimentaires...), les tâches du bâtiment, les litiges avec leurs propriétaires, ou leurs embaucheurs. Examinez que toutes ces mésententes sont prises en charge. L’assuré doit automatiquement lire le contrat pour observer ce qui est exactement garanti. En effet, l'assurance juridique ne prend pas en charge les dédommagements en cas de dégâts causés à un tiers, il faut faire jouer sa responsabilité civile.
L’accès à l’aide juridictionnelle, par laquelle l’État tient en charge tout ou une partie des indemnités de procès d’un justiciable, s’est copieusement réduit. Le plafond de moyens est établi tellement bas que rares sont les personnes qui y ont droit. Donc, même si son origine est intéressante et son coût abordable – quelques dizaines d’euros par an –, on peut se questionner sur la pertinence d’en admettre une. Ainsi que sur le choix du type de clause. L’étendue des cautions et les prix sont très changeants.
Les frais de procédure
Pour qu’une rivalité puisse se défaire en phase amicale, il doit quelquefois escompter certaines démarches. Comme par exemple, un constat d’huissier ou une évaluation automobile. Si l’assureur est d’accord pour comprimer ces actes, leur coût sera pris en charge.
Il y a un dépassement pour l’assuré si l’honoraire d’un avocat est supérieur au barème de l’assurance. Ainsi, l’autonomie de choix est obliquement limitée par le fait que les honoraires de l’avocat ne seront pris en charge qu’à une certaine limite. En fonction de votre contrat et le type de procédure préposée. Ce surcoût des rémunérations, qui n’est pas pris en charge développe que 75 % des clients font appel à l’un des avocats que l’assureur leur présentent. Dans ce cas, en effet, l’avocat a préalablement accepté le barème de l’assureur ;le client n’a donc en principe rien à payer.
Enfin, si le client possédant l’assurance protection juridique a engagé la procédure à ses frais, sans l’avis de l’assureur, les coûts (les rémunérations d’avocat et les frais de justice) demeureront totalement à sa charge si son issue lui est funeste. Dans tous les cas, évitez les contrats avec un plafond trop bas (moins de 15 000 €). Et ceux qui font supporter à l’assuré une part du prix de la procédure judiciaire, si le client perd.
Pour être mis en relation avec un conseiller assuromieux